la photo parle d'elle même,
un abandon discret
anonyme
ça donne à réfléchir
Au commencement du Xll° siècle (1130-1140) est attestée
l'existence de l'Hôpital Sainte-Marie de la Daurade,
sur la rive gauche de la Garonne,
en face de l'église et du couvent de la Daurade,
tous deux sur la rive droite du fleuve.
A partir de 1540 celui-ci est obligé de recueillir
les enfants abandonnés,
dont la charge était jusqu’alors celle de l’Hôpital du Taur.
Originellement destiné à accueillir tous les pauvres malades catholiques
et pèlerins qui se présentaient à ses portes, blessés, fiévreux, galeux,
« malades de la pierre » etc...,
l’Hôtel-Dieu prend en charge progressivement
de nouvelles populations :
les femmes et les enfants (XVIIème et XVIIIème siècles) ; l
es vérolés et les scorbutiques (XVIIIème siècle).
Il change même de nom.
La Révolution va contraindre « l’Hospice de l’Humanité »
à accepter tous les malades.
sources web